BLOG DE LAYZO

Au Sénégal il est d’une rareté absolue de voir un homme resté constant dans ses convictions et ses pensées nonobstant les différentes propositions dont il fait objet. Combien de fois étions-nous éblouis et convaincus par un homme qu’il soit politicien, journaliste, chanteur, sportif, religieux à travers des discours de droiture, de bonne gouvernance, de solidarité, de prospérité, de changement ; qui finalement nous déçoit en se comportant de façon contraire à tout ce qu’il défendait. Celui qui disait que chaque personne a un prix n’avait pas tort. Personne n’imaginait une seule fois qu’un certain journaliste surnommé l’avocat du peuple, le défenseur de la Patrie serait devant la scène politique pour défendre un politicien dont la richesse proviennent on ne sait d’où. Je ne pensais pas qu’il était si facile de renoncer à ses idées les plus chères pour se mettre à quatre pattes derrière un maître dont on se réclame être le plus clean de tous ses compagnons de règne. Compagn

Il faisait les yeux doux pour m’appâter mais je n’en étais pas consciente. Il a suffi de vivre  avec lui en couple pour que je puisse connaître le vrai caractère de l’homme que j’avais choisi de finir ma vie. C’est ainsi que j’ai su que l’homme le plus tendre pendant qu’il vous fait la cour pourrait être le monstre le plus violent après l’avoir épousé. Et bonjour les regrets, les chagrins, les lamentations, les souffrances jusqu’au point de haïr tout homme qui se présentera devant vous. Il est très difficile de connaitre la vraie face d’un homme lorsque ce dernier vous courtise. Il vous encense, vous chérie, vous protège et vous garde jalousement de telle sorte que vous vous sentez traiter comme une reine. Sans oublier aussi qu’il n’hésite pas à mettre sa main à la poche pour satisfaire les multiples fantaisies qui vous passent dans l’esprit. La seule chose qui compte pour lui c’est de vous voir afficher une mine radieuse pour que vos proches le juge comme le mari idéal

Voilà Modou devant l’arrêt-car, en train d’attendre un TATA ; pendant une trentaine de minutes, subitement en voilà un qui arrive net. Devinez comment est le car, oui il est bondé de clients. Mais quand je vois Modou franchir la porte en usant de toute sa force pour se frayer un passage, je suis tombé des nues, en plus il y a deux ou plus parmi les passagers qui l’incitent à monter. C’est là que j’ai mesuré au combien notre société est fautive sur beaucoup d’évènements malheureux. On n’oublie qu’on doit respecter le nombre de places préétabli pour que le véhicule soit dans les normes de sécurité requises. Malheureusement on a la mauvaise habitude de contourner certaines règles grâce à la formule magique : « grawoul ». A la longue ce que nous avions considéré comme « grawoul » est érigé en règle ce qui créera des conséquences irréparables. Quand on voit ces cars de transport en commun rouler à travers la Capitale et sa banlieue sans sécurité, on se demande dans que

Il y a des choses qu’on fait dans sa vie et qu’on regrette par la suite pour la simple raison qu’on n’en est pas du tout fier. Mais ce regret n’est autre que la réaction de sa conscience positive qui met en valeur l’ampleur de son erreur ou de son forfait ou de son crime. Je parie qu’il y a autant de Yérim Seck dans notre société, dans nos quartiers ou même dans nos demeures. C’est sûr que tout un chacun le connaît mais personne n’ose le dénoncer du seul fait qu’il est riche et que tout le monde profite de ses largesses. Le cas de Yérim Seck n’est que la face visible de l’iceberg car on assiste souvent à des relations de plus en plus déséquilibrées de par la différence d’âge des deux tourtereaux. Ce qui est aberrant dans tout cela, c’est de voir des parents de jeunes filles qui laissent leurs soi-disant protégées fréquenter leurs aînés de plus de vingt ans. Vous vous rendez compte ? Au Sénégal on a l’habitude de ne pas se dire la vérité alors qu’on est toujou

Il est temps que les sénégalais s’émancipent pour contraindre les politiques à se mettre au travail aussitôt élus. Depuis que Macky Sall est élu Président de la République du Sénégal, il est difficile de le critiquer du fait qu’on nous serve à chaque fois la même chanson : « on doit le laisser le temps de travailler car il n’a même pas encore aménagé au Palais ». Mais ce qui est aberrant c’est qu’il n’est pas très tôt pour qu’il se mette à nommer chaque semaine des Ministres conseillers dont  on ne sait pas jusqu’à présent leur nombre et combien ils coûtent aux contribuables. Pendant que des politiques se disputent la Présidence de l’Assemblée Nationale des sénégalais sont confrontés à la vie chère. Du moment que des Ministres conseillers se font traités royalement de pauvres citoyens ont du mal à respirer de l’air pur. Lorsque des centaines de millions sont distribués aux Députés avec les avantages qu’on connait, les habitants de la banlieue dakaroise

« Si je serai élu je ferai tout pour qu’on diminue les prix des denrées de premières nécessités » s’exclamait un candidat pour avoir les faveurs des populations pour être élu député. Ce discours n’est qu’un leurre du moment que le député doit son existence qu’à la législation. Seul le Gouvernement en place est apte à mener les changements espérés par les citoyens. On est toujours dupé par ces politiciens charognards qui ne sont là que pour nous sucer nos deniers. Je vois mal qu’on débloque plus de 160 millions de francs CFA par mois pour 150 personnes qui n’ont aucune utilité publique vu le travail qu’ils sont censé fournir. N’a-t-on pas appelé l’Assemblée Nationale d’applaudimètre pour chanter les louanges du Président en fonction. Des milliards sont mobilisés par l’Etat pour entretenir des gens supposés être des avocats du peuple alors qu’on assiste à plusieurs reprise à des grèves sans fin soit au niveau de l’enseignement, soit dans le transport, soit dans